Entradas de noviembre de 2013

11 novembre 1918

poilusanniversaire  J’avoue que l’histoire me passionne et surtout celle qui concerne les deux “grandes guerres” du vingtième siècle avec la permission des autres (Corée, Vietnam, Algérie, Yougoslavie,…).

En 2014 va se célébrer le centenaire du début de la première guerre mondiale (1914-1918) et aujourd’hui, 11 novembre 2013, c’est  jour chômé en France. Que célèbre-t-on? Pourquoi en plein vingtéunième siècle célèbre-t-on une guerre? Moi, un jour comme celui-ci, j’ai un souvenir pour ces hommes qui sont morts dans des circontances et conditions terribles, laissant veuves et orphelins, sachant dès les premiers coups de feu qu’ils avaient peu de possibilités de rentrer au foyer.

Je suis d’une génération qui n’a pas connu la guerre et je n’ai même pas fait mon service militaire, c’est peut-être pour cela que ces faits me fascinent car penser que des millions de militaires et de civils, femmes et enfants, ces-derniers surtout lors de la deuxième guerre mondiale, sont morts parce que les États les ont réclamés sous les drapeaux et sous les balles, me trouble toujours.

De toute façon, même au risque de paraître ringard, j’admire ces pays comme la France qui sont fiers de célébrer leur histoire. Je voudrais la même chose pour mon pays l’Espagne. Je suis fier d’être espagnol! Je suis fier de la France!

LA TOUSSAINT, POMPES FUNÈBRES ET COMPAGNIE

POMPES FUNÈBREfb3-ba510f9200db-350x250Puisqu’aujourd’hui, 1 novembre 2003, nous sommes en pleine célébration de La  Toussaint, j’ai trouvé un article su figaro .fr qui me paraît interessant et curieux à la fois et qui est en relation avec notre, je ne sais si prochaine, mais sûrement  dernière demeure. Je vous le copie ci-dessous.

Capital

À voir le 20/10/2013 à 20h50 surCe programme TV de M6
Les pompes funèbres : un sujet en apparence difficile à traiter sans verser dans le macabre ou le déprimant. Pourtant, les équipes de Capital, sur M6, ont réussi à l’aborder avec une écriture rythmée et humoristique.

On pourrait croire à un gag. Mais le retraité est très sérieux en revenant avec son cercueil sous le bras, devant la caméra: un kit en carton à plier soi-même, pour un prix défiant toute concurrence puisqu’il ne coûte en moyenne que 240 euros, contre 1.300 à plus de 4.500 pour un modèle traditionnel. Le phénomène est nouveau et séduit une clientèle grandissante. Désormais, il existe des entreprises de pompes funèbres low cost. Elles proposent des cercueils en pin pour 295 euros. C’est l’un des thèmes abordés ce soir. «On tournait autour du sujet depuis longtemps sans oser vraiment l’aborder, car c’est délicat à traiter, avoue Stéphane Martin, rédacteur en chef du magazine. Mais nous avons découvert une industrie qui prospère et répond aux attentes d’un nombre de clients de plus en plus grand.» C’est ainsi que l’on suit un homme chez un entrepreneur qui promet un enterrement à 1.240 euros pour des prestations de base, alors que, en moyenne, il faut en débourser près de 6.000 pour un service avec des prestations supplémentaires. Et ce service minimum lui suffit. «Pourquoi dépenser de l’argent pour une cérémonie d’un jour et qui va coûter une fortune à ma famille?», s’interroge ainsi le client. Pour son reportage, le journaliste Frédéric Monteil pousse même le culot jusqu’à simuler son propre enterrement, demande à sa femme de choisir les ornements de son cercueil, se fait maquiller comme un mort par les pompes funèbres pour être présentable et se fait enfermer dans un cercueil, pour la caméra.

Au-delà du côté déprimant du sujet, qui concerne chacun, la scène est drôle et désamorce une réalité taboue dans notre société. Même le nom d’une des sociétés des pompes funèbres, Tombini, où enquête le journaliste, semble prédestiné et fait sourire. Avec ses tarifs défiant toute concurrence, l’enterrement low cost représente une pierre, ou plutôt une dalle, dans le jardin des entrepreneurs traditionnels, qui vivent d’un marché générant trois milliards d’euros par an.

À savoir

On dénombre près de 550.000 décès en France par an. Mais, en 2023, le nombre passera à près de 800.000, avec la disparition d’une partie de la génération baby-boom, née entre la fin de la Deuxième Guerre mondiale et 1974. De plus en plus choisie, la crémation est passée de 15 % en 1998 à 35 % en 2012.

figaro.fr 20/10/2013